Circuits fermés | Magnus
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Traitement d’eau complet pour

les circuits fermés

Un programme conçu en fonction des caractéristiques de vos équipements.

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Les particularités des systèmes fermés sont très variables, autant au niveau des matériaux de construction qu’à celui des modes d’exploitation. Nos programmes de traitement d’eau ont été développés pour répondre spécifiquement aux exigences de ces réseaux, afin de contrôler efficacement les phénomènes de corrosion et d’encrassement, de même que l’activité microbiologique néfaste.

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Ces problèmes, typiques des réseaux en boucle fermée, peuvent entraîner rapidement des bris d’équipement et des besoins d’entretien onéreux. 

Nous mettons nos connaissances à votre service afin de sélectionner les programmes préventifs les mieux adaptés pour protéger vos équipements.

traitement-eau-circuits-fermes-magnus.jp

Corrosion

Les circuits fermés de recirculation d’eau, tels que les réseaux de chauffage et de refroidissement, présentent des conditions particulières, propices à plusieurs phénomènes de corrosion. Il en résulte non seulement une usure prématurée des composantes, mais l’encrassement par les résidus produits interfère également avec la circulation de l’eau, ce qui se traduit par une perte de rendement ou de confort, dans le cas de conditionnement d’espaces intérieurs.

 

Les réseaux en boucle fermée ont généralement une métallurgie très diversifiée, ce qui peut se traduire par une corrosion galvanique entre les composantes. Aussi, certains métaux, tels que l’aluminium, peuvent être rapidement affectés par les caractéristiques de l’eau.

 

Plusieurs autres processus de corrosion sont susceptibles de se produire dans les circuits fermés, mais la corrosion induite par les microorganismes est certainement l’une des plus difficiles à corriger.

Encrassement

L’eau d’appoint est peu susceptible de causer l’encrassement des systèmes en boucle fermée. La formation de dépôts provient plutôt des résidus de corrosion qui encombrent la tuyauterie affectée, créant ainsi une restriction à la circulation de l’eau. Les débris de ces dépôts peuvent également s’effriter et migrer dans le réseau pour éventuellement se loger dans les zones à faible turbulence.

 

La corrosion représente ici le premier facteur d’encrassement. Cela s’explique par le changement morphologique de l’acier, qui provoque une augmentation du volume occupé, réduisant par le fait même l’espace disponible pour la circulation d’eau.

 

Même si l’entartrage est inhabituel, il ne peut être complètement exclu dans les systèmes à haute température, principalement s’il y a un changement d’eau important. Dans un tel cas, les sels de dureté pourront précipiter et s’accumuler sur les surfaces de chauffe, ce qui entraîne une perte d’efficacité et un risque de bris par surchauffe du métal.

Activité 

microbiologique

Le développement de bactéries peut être critique dans les circuits fermés fonctionnant à des températures tièdes ou moyennement chaudes. Les microorganismes s’attachent typiquement aux surfaces en formant un biofilm interférant avec l’échange de chaleur et la protection du métal contre la corrosion. Ce biofilm est aussi fortement susceptible d’abriter certaines bactéries agressives, directement responsables d’une corrosion sévère.

 

Les conditions anaérobiques (absence d’oxygène) des circuits fermés sont effectivement favorables à la croissance de certains microorganismes, tels que la bactérie sulfato-réductrice, dont le métabolisme pourra créer des conditions corrosives. Une masse noirâtre, un faible pH, des odeurs de soufre et la perte de métal sont des indices significatifs du problème.

 

Les systèmes fermés peuvent être hôtes de plusieurs autres microorganismes, certains pouvant interférer avec l’action des traitements chimiques protecteurs en les utilisant comme nutriments. Dans ces situations, la corrosion devient évidemment incontrôlable.

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